Patrick Légeron explore l'importance croissante de la gestion des émotions au travail, face aux pressions et aux changements constants du monde professionnel. Il souligne les conséquences négatives du stress et du mal-être sur les individus et les entreprises, et plaide pour une prise en compte accrue de la dimension émotionnelle dans l'organisation du travail et le management.

Denis Salas fournit les éléments necessaires au débat sur la responsabilité des magistrats en France. Il analyse les différents types de responsabilité (disciplinaire, civile, pénale) et met en avant l'importance d'une éthique citoyenne et d'une déontologie affichée pour une justice plus transparente et légitime.

Le droit civil et la common law ont des différences fondamentales qui tiennent de leurs origines et leurs évolutions. Quels que soient leurs avantages et leurs inconvénients. Xavier de Kergommeaux souligne l'importance d'un environnement juridique clair et transparent pour le développement économique.

Dans l'édito de la Lettre d'Octobre 2005, Michel Rouger plaide pour un retour à la force de la loi et à la considération de l'Homme dans la justice, afin de redonner au droit son sens et sa place dans la société.

Compte tenu de l'évolution rapide de l'information à l'ère numérique, et de l'impact des nouvelles technologies sur la production et la consommation d'informations, Nicolas Arpagian souhaite voir se développer une pédagogie des consommateurs pour garantir une utilisation responsable de ces outils.

A l'occasion de la publication du cinquième ouvrage collectif édité par Présaje intitulé : "Le harcèlement numérique", un événement était organisé à la Maison du Barreau de Paris. Les auteurs avaient pris place sur l'estrade pour présenter l'ouvrage

Le contraste est saisissant entre le jeunisme affiché par les politiques et la réalité de la jeunesse actuelle. Michel Rouger souligne la nécessité de ne pas douter de cette jeunesse qui, malgré les difficultés, forge sa future citoyenneté.

Michel Rouger met en évidence les pressions exercées sur les systèmes juridiques nationaux par les normes internationales, en s'appuyant sur des exemples concrets comme le "whistle blowing", la "class action", les "punitive damages" et la "compliance". Il souligne les dangers d'une soumission aveugle à la régulation mondiale et appelle à une gestion équilibrée de la cohabitation entre les deux systèmes juridiques.

Issu des archives de Michel Rouger : intervention dans le cadre d'un colloque sur la complexité. Il y analyse le positionnement du décideur face à la complexité, notamment par le prisme du pouvoir politique et du pouvoir judiciaire, en soulignant l'importance du devoir de prospective pour le premier et de l'obligation de rétrospective pour le second.

François Renault décrit comment les données collectées par les entreprises et les institutions peuvent être interconnectées, créant des profils détaillés sur chaque individu. Il met en lumière les dangers de la traçabilité accrue et de la surveillance numérique, tout en soulignant l'importance de la protection de nos données personnelles dans un monde de plus en plus connecté.

Le débat organisé par l'institut Présaje la 15 février dernier a exploré l'impact d'Internet sur la formation de l'opinion publique. Des experts comme Alain Minc, Francis Teitgen et Agathe Lepage ont discuté des ruptures et des opportunités que représente le numérique dans le paysage médiatique, en analysant l'influence de l'accès à l'information, le rôle des blogs et l'avenir de la profession de journaliste.

Un climat de suspicion et de dénigrement règne dans le monde des affaires, alimenté par la quête de transparence et l'utilisation de la rumeur comme outil de communication. Michel Rouger s'inquiete du phénomène et met en lumière les dangers d'une société qui perd ses innovateurs et ses entrepreneurs.